Une dernière élection avant la grande finale…

Ils sont huit, ils sont grotesques et ils se disputent le dernier Pigeon d’Or mensuel avant la grande finale ! Du magouilleur de la FIFA en passant par une skieuse de pacotille et le Kinder Bueno du Mans, il y en a pour tous les goûts. Ami lecteur, tu as jusqu’au dimanche 4 janvier à minuit pour faire ton choix !

Hans-Joachim Eckert

La FIFA a (pour changer) réussi à se couvrir de gloire en publiant des morceaux «choisis» du rapport d’enquête Garcia sur les conditions d’attribution des Mondiaux 2018 et 2022 à la Russie et au Qatar. Pour épingler l’auteur de cette mascarade digne des iniques manipulations de la Stasi, on aurait pu se contenter du grand manitou de Viège et lui offrir une énième occasion de repartir avec un beau pigeon d’or. Toutefois, ne voulant pas dérailler la campagne de réélection du Haut-Valaisan, la rédac’ te propose du menu frottin, en la personne de Jean-Joachim Eckert, président de la ridiculement inutile chambre de jugement de la Commission d’éthique de la FIFA (la CJCEF, Commission des Juristes Couards et Empotés de la FIFA).
Avec un CV long comme les jambes de l’ex madame Karembeu et une spécialisation dans la détection du crime économique et des actes de corruption (!), on aurait pu imaginer qu’Eckert aurait fait le ménage chez les disciples de Jack Warner et autres bin Hammam. Toutefois, c’était sans compter sur la poltronnerie et le sens restreint de l’éthique de Herr Eckert qui décida de saucissonner le rapport Garcia et de choisir d’ennoblir les Fédérations russo-équatoriennes (qui avaient pourtant jouer l’obstruction durant toute l’instruction), tout en tirant des salves sur la Fédé anglaise qui avait été l’une des seules à jouer le jeu de la transparence durant cette enquête (octroyant notamment l’accès aux emails professionnel des employés de la FA). En se réfugiant derrière des arguments juridiques tels que le droit à l’anonymat des individus cités dans le rapport et la protection des droits de la FIFA (!), le Président de cette loufoque commission apparait au mieux comme le pantin de la FIFA et au pire comme le bienfaiteur des  agissements louches de certains intermédiaires. Pour que le CV de Jean-Joachim ait encore plus de gueule, profitons-en pour lui un superbe pigeon, symbole de tout le ressentiment des fans de foot qui croient encore à certaines valeurs morales.

Hans Kossmann

Mettons d’abord les choses au point : lorsque tu possèdes dans ton équipe une brochette de gars au mental de cristal qui travaille dans un huitième de sens de la patinoire et que tu as un gardien incapable d’arrêter des ballons de plage tirés par une arrière-grand-mère en fauteuil roulant, il ne faut pas s’étonner du résultat lorsque les événements partent en vrille. Alors que d’aucuns prédisaient un Gottéron en forme et pouvant titiller les premières places, les Fribourgeois se sont plutôt surpassés dans un fantastique festival de défaites mortifiantes. Englués à la dernière place du classement, les Dragons ont été au moins constants dans un domaine : la récolte des défaites où l’inaction a été érigée en dogme.
Il a fallu un certain temps pour apercevoir une bribe de réaction. Non, il ne fallait bien entendu pas parler du changement d’attitude des cadres de l’équipe, ni d’une prise de conscience générale. Dans le cas de Fribourg, on justifierait assez mal le renvoi des Sprunger, Schilt, Bykov ou autre Conz en Novices flop. Le seul électrochoc fut donc de faire sauter le fusible de l’entraîneur Hans Kossmann.
Difficile de s’acharner sur lui, mais force est de constater que cette solution semble pour l’heure fonctionner, ce qui tend à émettre la théorie que le brave Hans y est un peu pour quelque chose dans la Bérézina fribourgeoise. Incapable de solidifier un vestiaire composé d’ectoplasmes, impotent pour ce qui est d’insuffler le concept d’équipe à une myriade d’individualités blasées par l’exercice de leurs fonctions, aphone lorsqu’il s’agit de secouer un cocotier déraciné, impuissant pour renverser une tendance qui ne pouvait pas être plus désastreuse, le Canadien s’est donc logiquement vu montrer la porte de sortie, ce qui lui vaut cette sélection.

Layvin Kurzawa

Si tout le monde francophone, hormis la France, se gausse de chacun de leurs déboires, c’est parce qu’ils le valent bien. Les qualifications de l’Euro Espoirs 2015 n’a pas failli à cette constante et a une nouvelle fois illustré au grand jour toute l’arrogance franchouillarde pédante et hautaine.
Lors du barrage qualificatif, la France se retrouve en position de force après sa victoire 2-0 à domicile contre la Suède, mais les coqs se mettent en mode LHC des grands soirs et encaissent trois buts sans réplique au match retour chez les Vikings. Et puis patatras : Layvin Kurzawa réduit le score à 3-1 à la 87e, synonyme de qualification française. Comme toujours avec nos meilleurs ennemis se croyant systématiquement plus malins que les autres, le défenseur craque en allant délibérément narguer les Suédois, salut militaire à la clé. Tous les jaunes sont passés en revue dans la confusion et l’incrédulité la plus totale. Un comportement à la hauteur de l’intelligence du joueur.
Heureusement, il y a eu une justice. Plutôt que d’aller atomiser la figure de Kurzawa – ce qui aurait été mérité –, les Suédois ont trouvé une bien meilleure solution en allant inscrire un 4e but dans les arrêts de jeu. En jouant les Kostadinov et renvoyant du coup les Bleuets à la maison et à leurs études, les locaux en ont profité pour administrer un retour de manivelle aussi jouissif que mérité à l’encontre du décérébré défenseur français. Sans retenue mais avec raison, les Suédois s’en sont donné à cœur joie en couvrant de ridicule Layvin Kurzawa au travers des réseaux sociaux. Ayant réussi à devenir à la fois la risée de la toile et de ses propres compatriotes, le Brandao du pauvre a réalisé un authentique exploit. Une performance qui se doit d’être récompensée à sa juste valeur par un Pigeon d’Or.

Vanessa Mae

Tout a été dit et répété lors des pitoyables derniers Jeux Olympiques de Sotchi, mais cette grande pompe à fric en gardait sous la spatule. Plus que jamais à la recherche de paillettes, de glamour, de strass et bien entendu de ridicule, le CIO avait choisi de faire tout un tapage médiatique en grande pompe en annonçant la participation de la Thaïe Vanessa Vanakorn (ou Mae pour les intimes), violoniste de profession et, paraît-il, skieuse. Bon, l’olympisme n’est plus à ça près, elle qui persiste à laisser participer des illustres inconnus s’improvisant sportifs, provenant de quelques préfectures bananières éloignées, tout contents de finir à la dernière place à quatre décennies de l’avant dernier dans les compétitions où ils sont alignés dans le grotesque le plus embarrassant.
Vanessa Mae a parfaitement rempli ces critères, elle qui a terminé bonne dernière du slalom géant féminin, à plus de 50 secondes de la lauréate Tina Maze. Si un tel résultat mérite de toute manière une sélection amplement justifiée, la manière dont elle s’est extirpée pour être la risée du cirque blanc est une circonstance autrement plus aggravante. Lors d’obscures courses de sélection disputées en Slovénie, des irrégularités monstrueuses ont été remarquées afin de permettre l’éligibilité de la violoniste aux JO : trafiquage des chronos des concurrentes, coureuses fictives, classement d’autres concurrentes préalablement éliminées ; on a fait les choses en grand !
Avec la complicité de quelques officiels, Vanessa Mae s’est donc ramassée une suspension en bonne et due forme pour toutes ces magouilles : quatre ans d’interdiction de toute compétition. Tout ça pour aller se la péter aux pays des pétroroubles. On a vu plus intelligent… Au terme d’une aventure qui a sonné faux du début à la fin, la belle Thaïe y réfléchira à deux fois avant de se couvrir de honte de la sorte.

Vincent Rüfli

L’inénarrable Vincent Rüfli est décidément un cas désespéré. Affublé de plusieurs qualificatifs garnis dans le petit monde de la Super League suisse (le caïd des parkings de la Praille ou la petite racaille genevoise), le défenseur du  FC Sion nous a, une fois de plus, démontré qu’il possédait un nombre de neurones qui devaient s’approcher de celui de ses «caps» avec la Nati. Non content d’avoir été catastrophique dès l’entame du match face aux fortiches du FC Aarau, Rüfli décida de régler quelques comptes avec les avinés de la tribune ouest de Tourbillon en distribuant une série de doigts d’honneur à qui voulaient bien les recevoir (parents, enfants, dirigeants voire journalistes médusés par tant de bêtise).
Multi récidiviste en la matière (dont un «ferme ta gueule» distribué à un fidèle supporter grenat dans un match amical (!) face au Mont, puis héros du fameux pugilat verbal, racial puis physique avec Matt Moussilou), le Prix Nobel en Littérature 2012 semble souvent être plus préoccupé à défendre son ego mal placé plutôt qu’à faire évoluer son hilarant «toucher de ballon». Et ce ne sont pas ses grotesques excuses qui viendront épaissir l’image qu’on peut se faire du personnage. Jugez par vous-mêmes : «Je ne suis pas raciste car j’ai beaucoup d’amis noirs» ou «De toute façon, les Valaisans n’aiment pas les Genevois». En éructant de tels stéréotypes pour se disculper, la starlette carougeoise (© lesgrenats.ch) s’enlise pitoyablement dans le ridicule muni hélas du blanc-seing du FC Sion qui n’a même pas puni Rüfli pour ses errements du majeur. On laissera le soin aux lecteurs de notre site de sanctionner cette petite frappe et de lui remettre un Pigeon, si possible voyageur, pour l’emmener le plus loin possible des terres valaisannes qu’il ne mérite vraiment pas.

Jo-Wilfried Tsonga

Le Kinder Bueno du Mans a fait beaucoup de peine lors de la somptueuse finale de la Coupe Davis à Lille. Humilié vendredi par un Stan The Man en feu, pathétiquement en pleurs samedi lors de la cérémonie d’ouverture et forfait dimanche (de peur d’une nouvelle humiliation ou vraiment blessé ?), le numéro 1 français aura grandement contribué au naufrage des Bleus face à la Dream Team helvétique. Et dire qu’il arrivait à cette finale frais comme une rose après une fin d’année où il a enchaîné les contre-performances…
Mais le pire dans tout ça, c’est sans doute l’altercation qui a eu lieu dans les toilettes dimanche soir entre le clan tricolore, casquette à l’envers et langage de racaille, contre Stan Wawrinka. Aussi susceptibles qu’une pucelle de 14 ans à qui l’on aurait volé son Carambar, les Poulidor de la petite balle jaune n’auraient pas supporté les deux-trois piques du numéro 4 mondial en conférence de presse. Pauvres chous, pauvres types ! A l’image des Nasri, Ribéry ou autre Evra, Jo-Wilfried Tsonga symbolise parfaitement le sportif français tête à claques, imbu de lui-même et finalement très, très bête, pour rester poli. Alors, à défaut de Saladier d’Argent, un Pigeon d’Or pour l’homme qui se prend pour Mohamed Ali ?

Roman Wick

Les hockeyeurs suisses tenant leur chance en Amérique du Nord se divisent en deux catégories: il y a les crocheurs, ceux qui en ont bavé et ne reculent devant rien pour atteindre leur but à l’instar de Niederreiter, Andrighetto ou Müller. Et il y a les autres. Les divas suffisantes davantage intéressées par leur confort personnel et leur compte en banque, préférant ficher le camp à la première contrariété et signer un lucratif contrat, vie pépère et belle maison en prime. Roman Wick fait indiscutablement partie de cette dernière.
Ce n’est pourtant pas son talent qui fait défaut. Il a aussi tenté sa chance outre-Atlantique, avec un certain succès : tout d’abord en WHL, la ligue junior de l’Ouest, où il a tourné à une respectable moyenne d’un point par match. Rentré à Kloten, il retraverse l’océan en 2010 et remporte la Coupe Calder avec les Sénateurs de Binghampton, le club-ferme d’Ottawa, ce qui lui ouvre les portes de la Ligue Nationale. Las, les sacrifices à faire pour se tailler une place dans l’alignement des Sénateurs sont bien trop rudes pour ce caractère faible. Wick rentre au bercail chez les Aviateurs, pour ensuite les planter et signer un juteux contrat avec le rival zurichois des Lions.
Dernièrement, la diva zurichoise a décidé de mettre un terme à sa carrière internationale à l’âge de… 28 ans pour se consacrer uniquement à son club. Une énième décision confirmant son statut de loser patenté. Sans doute épuisé par les terribles déplacements de Rapperswil, Zoug ou encore Kloten, Wick a donc décidé de se préserver au vu de son âge avancé où il aura tout loisir de se concentrer sur son insupportable attitude de diva, de ses sempiternelles jérémiades et de ses simulations inzaguesques.

Sandro Wieser

A la liste des Gentile, De Jong, Pepe et autre Goikoetxea, la Fédé liechtensteinoise doit être bien penaude de devoir dorénavant y ajouter le boucher de Vaduz, Sandro Wieser. Quels adjectifs faut-il inventer pour caractériser l’agression du Rambo d’Aarau (© Ancillo Canepa) sur Gilles Yapi ? Un véritable attentat, aussi insoutenable que l’Armageddon du père Chapuisat sur Lulu Favre il y a bien trente ans de ça… Toutefois, si l’on se réfère au jugement inepte de la Commission de la Ligue suisse, il faudra simplement ranger le geste de Wieser dans la catégorie «surplus d’engagement» et «particulièrement imprudent» (dixit). A lire ce tissu de conneries, on croit rêver si l’on prend le temps de consulter la liste interminable de lésions subies par l’Ivoirien du FC Zurich. 
Avec seulement six petits matchs de suspension, cette fripouille de Wieser s’en tire fort bien et ce ne sont pas ses minables excuses en Schwyzerdütsch sur Facebook (quelle classe !) qui relèveront le niveau de ce pauvre type : «Je ne l’ai pas fait intentionnellement». Ah bon ! Ben revoyons les images pour se faire une idée plus précise sur cette affirmation : un ballon pas si chaud que ça que Yapi avait transmis depuis deux secondes déjà avant qu’arrive ce tacle déplorable de haut en bas commençant à la hauteur de la cuisse…Horrible tout simplement. Après un tel acte et cette dédaigneuse excuse, on aimerait vraiment que ce Taliban des surfaces vertes ne vienne plus jamais fouler un terrain de foot, du moins aussi longtemps que Yapi ne se remette pas à 100% de ses blessures. Mais la loi du talion ne s’applique pas ici, en tout cas pas pour notre si déficiente ASF. Alors espérons que les lecteurs de notre site sans concession n’hésitent pas à remettre un Pigeon d’Or à celui dont l’entraineur actuel prétend qu’il ne ferait pas de mal à une mouche… Les ligaments, rotule, ménisque et autres cartilages de Gilles Yapi en sont effectivement les témoins privilégiés !

A propos Paul Carruzzo 207 Articles
Elle est pas un peu belle notre Nati et tout le bonheur qu’elle nous amène ? Alors, Rickli et compagnie, si vous ne vibrez pas devant cette équipe, vous n’êtes pas non plus monstrement obligés de regarder. Profitez d’un bon match de hornus et foutez la paix à nos joueurs, qui comme vous, ont un joli passeport rouge à croix blanche.

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15 Commentaires

  1. Pour Kurzawa, qui n’a certes pas été hyper malin sur ce coup, on pourrait presque rajouter Gudietti (le buteur suedois). Parce que bon, lui répondre c’est marrant et plutôt bien senti, mais le mec refait le même geste à chaque fois qu’il marque maintenant, ce qui commence gentiment à friser le ridicule également.

  2. Les gars, vous voulez pas faire de Brunner une guest-star de dernier instant? il mériterait amplement d’apparaître dans cette liste, non?

  3. Masters de Londres 2014, demi-finale Djokovic-Nishikori: A ce moment-là, Djokovic a déjà la place de n°1 mondial assurée en fin d’année, et on a aucun grief contre Nishikori. Vu de suisse donc aucune raison de vouloir la défaite de l’un ou l’autre des deux protagonistes. Simplement on espère voir un beau match de tennis et avouons-le, on attend surtout la deuxième demi-finale entre les deux suisses.

    Donc on est la à regarder ce match, et soudain, au terme d’un bel échange très bien conclu par Nishikori, Pascal Droz s’exclame « c’est bien fait ! » Evidemment il serait puéril d’imaginer qu’il a dit ça à l’encontre du joueur qui a perdu le point. Ne soyons pas de mauvaise foi, tout le monde comprend cette phrase dans le sens « c’est bien exécuté de la part de Nishikori ».

    Tout le monde? Peut-être pas.. et oui une collègue RTS de Pascal Droz a eu l’honneur de remporter le pigeon de l’année pour avoir prononcé les trois mêmes mots (!) à « l’encontre » et c’est là ou elle a été très forte, du Lausanne Hockey Club… gageons que s’il y avait eu un joueur vaudois sur le terrain à ce moment-là, ce cher Pascal Droz se verrait aujourd’hui nominé dans la liste, et qu’il gagnerait haut la main! Malheureusement pour lui, le sport est parfois bien cruel et il devra remettre l’ouvrage sur le métier s’il veut devenir l’égal de sa brillante collègue 🙂

  4. Wouah sacrée sélection ! Ça risque de me prendre des jours de réflexion. Ces 8 là pourraient presque tous carrément prétendre au pigeon de l’année tellement ils ont été grands dans leur catégorie respective

  5. A propos de ridicule, bizarre de retrouver Wick dans ce classement, lui qui a « quand même » tenté l’aventure en Amérique du Nord, « quand même » été MVP du championnat et « quand même » gagné des titres. Alors qu’en comparaison personne en Suisse Romande n’ose condamner un Sprunger qui renonce lui aussi à la Nati de façon incompréhensible avec pas la moitié du palmarès de Wick.
    Ah, et entre parenthèse, quand vous gagnez la Calder et n’arrivez pas à décrocher une place en NHL, c’est que généralement votre sort est plié, et non pas que cela vous ouvre les portes de la NHL! Les bons sont pris en NHL en cours de saison, rares sont ceux qui ont gagné une Calder à 26 ans puis fait une carrière en NHL!
    Mais bon, en Suisse Romande, on aime bien critiquer le Suisse-Allemand, sans balayer devant sa porte en premier. 🙂

  6. @Phil
    Il faudrait que tu viennes sur CartonRouge.ch plus souvent car:
    de 1. tes théories sur les antagonismes entre Welches et Suisse-All trouveraient preneur pour une belle bataille verbale
    et de 2. tu aurais su (avant de sortir l’exemple Sprunger) que la danseuse fribourgeoise s’était fait épinglé déjà à 2 reprises sur nos Pigeons.
    regarde ci-dessous et tu verras que ta théorie prend un peu beaucoup l’eau…

    http://www.cartonrouge.ch/actualite/servette-gotteron-a-la-sauce-pigeon-dor/
    http://www.cartonrouge.ch/actualite/maitre-warluzel-souhaitez-vous-defendre-un-des-pigeons/

  7. Concernant Wick je suis d’accord avec Phil rien a voir avec antagonismes Welsches-bourbines ce que tu veux. Il y en a un qui mérite pas de sélection et un autre une 3 ème. Par ailleur je même si prendre une retraite internationale à son âge est discutable, il le fait au moins de manière définitive. Pas juste faire comme sprunger je viens quand ça m’arrange et je pleurniche (encore) quand je suis pas séléctionné pour les JO.

  8. Pas osé mettre Federer, qui renonce à une finale du master pour galoper derrière en coupe des vices ? 🙂

    Sinon, la « starlette carougeoise », c’était les EdS. Mais là on parle de faits s’étant déroulés en 2009. Vous êtes allés chercher loin pour le coup. Ceci dit, le mononeurone va bien au pays des consanguins, non ?

  9. Sacrée sélection. Je rejoins certains commentaire, notamment sur la nomination en guest star de Brunner!

    Concernant Wick, peut importe qu’il ait tenter correctement ou non l’aventure américaine, quand a 28 ans t’es l’un des meilleurs attaquants de ton pays, en pleine possession de ses moyens tu ne peux pas envoyer chier de la sorte ton pays. Même si on t’appelle a 42ans en équipe nationale c’est un honneur et tu y vas. J’ai bien l’impression que si les primes étaient plus élevées il y serait toujours… Ça va dans la lignée de sa signature avec le Z après avoir été adulé a Chloote.

    La FIFA étant définitivement perdue, tous ses membres sont éligibles a chaque nomination.

    Pour ce qui est de Kossmann, les plus gros pigeons dans l’histoire sont quand même les dirigeants. Ils font l’autruche avec leur vestiaire qui fait la loi, résigne a prix d’or l’ami Hans, trouvent toutes les excuses du monde a leur traine-patins de joueur.

    Rufli et le coq en herbe font partie de ces trop nombreux joueurs débiles que le foot produit, malheureusement je ne crois pas que la tendance va s’inverser.

    Je voterai donc pour Kinder Bueno. A l’image de toute cette France qui se voile la face depuis des années. Se planter aussi magistralement a ce qui était censé être l’EVENEMENT de leur carrière, les français n’ont pas fait un seul truc de correct dans toute cette finale excepté la victoire de la Monf. Entre les journalistes, les officiels, l’organisation, la communication et last but not least la performance des joueurs c’était le 0 pointé. Les pigeons de l’année ce sont eux, et surtout JWT qui croit toujours qu’il mérite aussi de gagner un GC et une Davis a la place de Wawrinka mais qui n’a toujours pas compris comment son sport fonctionnait.

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